La démission de Sébastien Lecornu n’est pas un fait isolé. C’est un nouveau signe d’un pouvoir à bout de souffle, rongé par les scandales, incapable de gouverner autrement que par la fuite en avant. Pendant qu’Emmanuel Macron tente de tenir bon, l’instabilité politique s’installe durablement.

Et si le Président répète qu’il ne compte pas dissoudre l’Assemblée nationale, chacun comprend qu’il n’en a plus vraiment la maîtrise.

Dans un tel contexte, tout peut arriver : une dissolution surprise, une élection anticipée, voire une démission forcée. Autant dire que le peuple doit se tenir prêt.

Et la première chose à faire, c’est simple : vérifier que vous êtes bien inscrit·e sur les listes électorales.

🟣 Quand la démocratie se fragilise, notre voix devient une arme

Nous vivons une époque où les décisions se prennent de plus en plus sans le peuple, contre le peuple.Les institutions, taillées pour un monarque républicain, étouffent le débat démocratique. Les votes des citoyens sont ignorés, les services publics s’effondrent, et les urgences sociales s’accumulent.

Dans ces moments-là, s’abstenir ou ne pas être inscrit, c’est laisser faire.

C’est offrir un boulevard à ceux qui profitent du désengagement populaire pour garder le pouvoir entre quelques mains.

Au contraire, s’assurer de pouvoir voter, c’est se donner les moyens d’intervenir quand le moment viendra. Car tôt ou tard, le peuple sera de nouveau appelé à trancher.

🟠 Se préparer, c’est déjà agir

On ne sait pas quand aura lieu le prochain scrutin national. Mais on sait que les élections municipales de 2026 arrivent vite, et que la situation politique pourrait précipiter une présidentielle anticipée.

Alors ne laissons pas la surprise décider à notre place.

Prenons deux minutes maintenant pour vérifier notre inscription :

👉 Vérifier mon inscription sur service-public.fr

👉 S’inscrire sur les listes électorales

🕐 Date limite pour les municipales 2026 : 31 décembre 2025.

Mais mieux vaut ne pas attendre — le pouvoir, lui, ne nous attendra pas.

🕊️ Ne rien lâcher

Quoi qu’il se passe à Paris, la souveraineté appartient toujours au peuple. Notre force, c’est le nombre, c’est la vigilance, c’est la participation consciente.

Vérifiez votre inscription. Faites passer le mot.

Et quand le moment viendra, soyons des millions à rappeler une vérité simple : sans le peuple, il n’y a pas de République.